Aprés les Apôtres, faut-il jamais des personnes, que l’on puisse dire avoir été inspirées, comme eux, du S. […] Cela veut dire enfin, que ce n’étoit pas assez au Demon, que les gens d’une conscience toute perduë fussent à luy, par la scandale d’un Theatre infame ; si ceux, que quelque pieté rend recommandables, n’en étoient faits encore les victimes, par le poison inspiré de l’amour, qu’un nouveau Theatre apprend aujourd’huy, plus modestement, mais aussi plus malicieusement, qu’il ne fît jamais.