Et le Pape Innocent III, écrivant à un Evêque de Poitiers sur la fin du XII. siécle, ou au commencement du XIII. lui dit : Quæ canonicis obviat institutis, nullius debet esse momenti. Innocent. […] On n’a jamais vû personne se convertir au sortir d’une comédie par la force de ces critiques que l’on compare aux morales les plus intéressantes, comme on en voit changer de conduite & réformer leurs mœurs après une éloquente & patétique prédication : & c’est une erreur de croire que la comédie soit un plaisir innocent & même avantageux, parcequ’on y censure tous les vices. […] Innocent.