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286. (1758) P.A. Laval comédien à M. Rousseau « P.A. LAVAL A M.J.J. ROUSSEAU, CITOYEN DE GENÈVE. » pp. 3-189

A l’égard de la mauvaise foi, je ne juge mal de mon prochain que le plus tard que je puis, et; j’aime à le trouver innocent. […] Quel jugement portera-t-on de celui qui moleste également l’innocent et; le coupable ? […] Au surplus commencez par leur montrer l’exemple, vous qui cherissez si tendrement au milieu de la France les innocents plaisirs de votre patrie.

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