Et à cela près, si les Comédies avaient été innocentes pour les mœurs, ils ne les auraient pas condamnées. […] Mais aprés tout, leur surprise n’a pas duré longtemps ; et le mal s’étant déclaré tout d’un coup, ce que l’on avait d’abord laissé passer comme innocent, a commencé à paraître très pernicieux. […] Péché dans les effets que cela produit infailliblement même au regard des personnes les plus innocentes ; une grande dissipation d’esprit, un éloignement des choses de Dieu, une froideur pour la prière, un dégoût des Livres de piété, un amour du monde.