Probablement vous aurez su, Monsieur, que j’avais adressé une lettre à M. l’abbé Desmarès Sur deux péchés mortels, selon lui, sur deux actions innocentes, selon moi : le théâtre et les bals. […] … Qu’arrive-t-il dans ces lieux, où règne une contrainte éternelle, où l’on punit comme un crime la plus innocente gaîté, et où l’indiscrète sévérité d’un pasteur ne sait prêcher au nom de Dieu, qu’une gêne servile, et la tristesse et l’ennui ?