Ce personnage d’Elmire est d’une noirceur, d’une bassesse, d’une infamie dont le théatre fournit peu d’exemples. […] ) avoit-il tort de dire : Pour avancer qu’aujourd’hui la comédie n’a rien de contraire aux bonnes mœurs, il faut donc que nous passions pour honnêtes les impiétés & les infamies dont sont pleines les comédies de Moliere, qui remplit tous les théatres des plus grossieres équivoque dont on ait jamais souillé les oreilles des Chrétiens. […] 13.° C’est une indécence inexcusable que l’indifférence avec laquelle écoute les plus grandes infamies, & débite les maximes les plus fausses & les plus dangereuses à son mari & à ses enfans, une femme & une mère qu’on veut donner pour modelle.