Faut-il qu’on ose dire que l’Eglise n’a condamné les Comédies, qu’à cause de l’Idolâtrie et des infamies que les Païens y mêlaient autrefois ? […] Le peuple et surtout les étrangers rougirent pour lui d’une telle infamie. […] Durant tout cet espace de temps l’art des Comédiens a été censé infâme : car ce que firent Néron et Héliogabale ne pouvait pas ôter cette infamie. […] de l’infamie dont sont notés tous ceux qui montent sur le Théâtre. […] On tolère les Comédies pour éviter pis, mais on note d’infamie ceux qui montent sur le Théâtre, et on ne cesse de prêcher et d’écrire pour détourner les Fidèles de ces sortes de divertissements.