» Il a porté la témérité jusqu'à y joindre des estampes indécentes, bien dignes du burin licencieux qui a gravé les infamies de Zélis au bain ; on y représente un amour se jouant avec l'Abbé de Rancé dans sa cellule, pour faire entendre que malgré toute sa réforme, son cœur se livre toujours au plaisir : « Serpentes avibus geminantur tigribus agni. » Autre héroïde aussi peu décente : Lettre du Comte de Comminge à sa mère, suivie d'une épître de Philomène à Progné.