Il le peint comme un petit maître efféminé, énervé de délices, blasé de volupté, dégoûtant de parfums, couronné de fleurs, qui n’a que les graces d’une femme, non une beauté mâle, une vraie femme, ce qui le couvre d’infamie : Elumbem deliciis, muliebri venustate unguentis delibutum, rosis coronatum, puellarum amicum totum mulierosum .