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200. (1731) Discours sur la comédie « PREMIER DISCOURS SUR LA LETTRE DU THEOLOGIEN DEFENSEUR DE LA COMEDIE » pp. 2-32

Lorsqu’après avoir examiné un très grand nombre de Comédies pour pouvoir juger s’il y a du mal, il ose déclarer qu’il n’y a « rien qu’on ne doive approuver, rien d’indécent ni de déshonnête qui puisse blesser en quelque manière la pureté des mœurs », page 41 « et qu’on n’en imprime aucune, où l’on puisse trouver une équivoque, ni la moindre parole sous laquelle on pût cacher du poison », page 44.

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