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12. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108

Les ronflemens des Euménides dans la Tragédie de ce nom, devaient être imités par le bruit des instrumens, ou par des tons plus ou moins hauts tirés lentement du gosier, & qui pouvait fort bien avoir été notés par un célébre Musicien. […] Le Chœur des Grenouilles, Comédie d’Aristophane & celui des Euménides ronflantes dont je viens de parler, ressemblent, on ne peut d’avantage, au fameux trio de hi ho hin ha du Maréchal-ferrant, dans lequel on imite le braiment de l’âne.

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