Un vrai pénitent ne fait pas plus de grâce à l’idolâtrie du vice : il va, comme Madeleine, arroser de ses pleurs, essuyer avec ses cheveux, embaumer de ses parfums les pieds du Sauveur ; matière, occasion, danger, image, souvenir du péché, il voudrait tout immoler. […] Cette excommunication, cette horreur de l’Eglise, cet éloignement des Chrétiens, cette privation de prières, d’honneurs funèbres, de sépulture, cet abandon à Satan, voilà une image, hélas ! […] « Muses, grâces, amours, dont elle fut l’image, O mes Dieux et les siens !