Tout ce qui flatte les sens, ce qui favorise leur rébellion, les objets qui font naître des images voluptueuses, qui rendent la convoitise aimable, ce monstre que l’Apôtre Saint Jean nous a défendu d’aimer. […] On y voit, dit Saint Augustin3, les images de nos miseres & de nos désordres4 ; c’est une peinture de la vie humaine où l’on représente au naturel ses vices & ses foiblesses. […] C’est que vous y trouvez l’image, l’attrait, l’aliment de vos convoitises.