Il verrait avec regret que ses écoles des femmes et des maris, et autres pièces, n’ont été que des écoles de mauvaises mœurs ; qu’en voulant corriger les vices de quelques parents dénaturés, exceptés de la règle générale, il avait compromis partout l’autorité paternelle ; qu’en voulant corriger les travers d’un petit nombre de maris, il avait jeté du ridicule ou de la défaveur sur tous les chefs de famille, sur les devoirs du mariage, sur les idées religieuses qui les sanctifient ; qu’il avait donné de bonnes leçons de ruses et d’artifices aux épouses qu’il trouverait peut-être en avoir assez bien profité.