Quelle idée a donc le public, quelle idée a-t-il lui-même de cette école des mœurs où la bonne morale est un prodige ? […] Où sont ces jeunes gens qui n’ont aucune idée de bonnes mœurs ? […] On y perdroit bien plutôt qu’on n’y acquerroit les vraies idées des bonnes mœurs. […] ces deux idées sont si peu faites l’une pour l’autre ! […] L’idée est téméraire, le trait impie, n’importe, le vers est heureux, on ne peut se résoudre à le sacrifier.