L’ordre et le bonheur de la société humaine roulent sur deux pivots que la bonne politique a toujours cru de son devoir et de son intérêt de maintenir et de protéger : la religion et les lois. […] Elle est commune dans la société humaine : l’usure, la médisance, l’impureté, ne sont-elles pas condamnées par toutes les lois ?