La comédie est la satyre du genre humain ; & la comédie françoise, qui, par la crainte du bâton, n’ose point nommer les gens, se dédommage en les désignant. […] La corruption du cœur humain qui se plaît à l’obscénité & à la satyre. […] Il n’y a pas un mot françois d’un style honnête qui réponde au terme italien, & en rende toute l’énergie : folie, sottise, bouffonnerie, impertinence, obscénité, il dit tout cela, & il dit vrai : c’est un tissu de tout ce que l’esprit humain peut imaginer de plus extravagant.