Mais si l’orateur chrétien combat avec tant de succès les passions humaines, que ne lui devons-nous pas de reconnaissance et de vénération pour les consolations réelles que nous offre son ministère dans les événements les plus douloureux de la vie ? […] et quand on ne l’envisage qu’avec l’œil des préjugés humains, n’est-on pas tenté d’accuser la providence elle-même d’un abandon si déporable ? […] Quel triomphe et plus noble et plus grand, put jamais obtenir l’éloquence humaine ! […] On peut comparer ces maisons d’étude et de paix, retraites sacrées et inaccessibles, à des vaisseaux richement chargés, qui, à travers l’océan des âges et le déluge des barbares, ont conservé le dépôt des connaissances qui ornent et consolent le genre humain, comme une autre arche, dans un autre déluge, avait sauvé le genre humain lui-même.” […] De Dieu, nous disent-ils, descend toute puissance ; Le prince est son image et maître des humains, Tient du maître des cieux le glaive dans ses mains.