/ 359
121. (1774) Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. Livre seizieme « Réflexions morales, politiques, historiques et littéraires sur le théatre. — Chapitre V. Suite des Parfums. » pp. 112-137

Il dit expressément qu’il avoit horreur de cette foiblesse de femme : Non me fœminens cœpit odor unguentorum . […] au moins la mort terminoit enfin cette horreur, & l’éternité verra leurs corps entassés les uns sur les autres s’infecter mutuellement : De cadaveribus eorum ascendit fœtor . […] Cette multitude infinie de corps entassés, déchirés par mille tourmens, brûlés, rongés des vers, ne peuvent qu’exhaler une puanteur insupportable, toujours renfermée dans ce lieu d’horreur : De cadaveribus eorum ascendit fœtor . […] Tous les hôpitaux, tous les cachots, tous les caveaux pleins de morts, de prisonniers, de malades, les campagnes pleines de cadavres pourris après une bataille, n’approchent pas de ce lieu d’horreur, creusé par la justice divine.

/ 359