La majesté divine, la discipline évangélique, l’honneur de l’Eglise, ne permettent pas de la souiller par une communication si infâme, « tum turpis et infami contagione fœdari ». […] Si la comédie est une œuvre de piété, je ne m’y oppose plus ; mais s’il l’a en horreur, si le démon en fait ses délices, « Deus horret et execratur, in his partus diaboli et offensio Dei », pouvons-nous, contre nos lumières, nous jouer de la divine Majesté par les honneurs que nous rendons au démon ?