Après s’être longtemps élevé en France contre ces divertissements, on essaya de les réduire à quelque chose d’honnête et de supportable, mais on reconnut bientôt que le plaisant et le facétieux touchent de trop près au licencieux pour en être entièrement séparé. Si on avait pu approuver quelques représentations, c’étaient surtout celles que les maîtres proposaient quelquefois dans les collèges à leurs jeunes élèves, pour les aider à former leur style et leur action, et pour leur procurer à la fin de l’année un honnête délassement.