En permettant de diffamer les Dieux par la représentation de leurs crimes, ils laissaient la liberté de diffamer les hommes : les hommes méritent-ils plus de respect que les Dieux ? […] Faites l’aumône, même à l’homme pécheur. Voilà deux choses ; l’homme, qui est l’ouvrage de Dieu ; le pécheur, qui est l’ouvrage de l’homme. Donnez à l’ouvrage de Dieu, non à celui de l’homme. […] Un homme qui est dans l’erreur, qui ne sait pas apprécier les choses, n’est pas savant.