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314. (1671) La défense du traité du Prince de Conti pp. -

C’est pourquoi dès que Monseigneur son Fils aîné eut atteint l’âge de trois ans, il s’appliqua lui-même avec Madame la Princesse sa Femme, à lui apprendre les principes, et l’abrégé de la doctrine Chrétienne, avec l’Histoire du vieux et du nouveau Testament : ce que ce jeune Prince apprenait avec une facilité merveilleuse, en se jouant, et avec un plaisir extraordinaire, donnant des marques d’un esprit, et d’un jugement qui surpassait son âge. […] . » Nous lisons encore dans nos histoires, que la sainteté du Roi saint Louis, a été le fruit de l’éducation de la Reine Blanche sa Mère. […] L’Auteur de la Dissertation ne rapporte pas fidèlement ce que l’Empereur Constantin fit à l’égard des Statues des Temples des Païens : et il applique encore plus mal cette Histoire à ce qui est arrivé à la Comédie. […] Les Comédies, et les Tragédies qui représentaient la Passion de Notre Sauveur, les Actes des Apôtres, et les Histoires du vieux, et du nouveau Testament ont été condamnées par le Parlement de Paris. […] , lorsque parlant des Théâtres Romains dans son histoire, il s’écrie par digression : « Il ne faut pas que les Fidèles les fréquentent ; c’est blasphémer le nom de Dieu qui les défend, c’est honorer ces Dieux abominables, c’est-à-dire les démons qui les demandent, et qui par un effet de leur malice y veulent des sacrifices, où l’on fait mourir plus de vertus que de victimes, etc. » » Et l’Auteur de la Dissertation, après avoir rapporté plusieurs semblables témoignages de S Chrysostome, de S. 

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