n’est-il donc pas écrit : « heureux ceux qui pleurent ! […] Heureux ! cent fois heureux ! […] Heureux ! […] que celui qui n’en ressent pas l’influence heureuse, abandonne le sanctuaire des lois !
n’est-il donc pas écrit : « heureux ceux qui pleurent ! […] Heureux ! cent fois heureux ! […] Heureux ! […] que celui qui n’en ressent pas l’influence heureuse, abandonne le sanctuaire des lois !