Les divertissements sont de pures niaiseries: et je ne sais quel plus grand mal je lui pourrais souhaiter que la durée de ces vains, amusements qu'il recherche, et de cette inquiétude curieuse dont il est charmé, et qui lui fait haïr la paix et la douceur d'un heureux repos. […] Et cependant combien cette vanité heureuse, ou plutôt cette vaine félicité produit-elle de malheurs ? C'est de là que vient l'aveuglement du cœur, selon ce qui est écrit : O mon peuple, ceux qui vous appellent heureux, vous trompent.