A quoi bon leur donner un cœur plus sensible à la pitié, moins de vitesse à la course, un corps moins robuste, une stature moins haute, des muscles plus délicats, si elle ne les eût destinées à se laisser vaincre ? […] [NDA] Au Théâtre d’Athènes les femmes occupaient une Galerie haute appelée Cercis, peu commode pour voir et pour être vues ; mais il paraît par l’aventure de Valérie et de Sylla, qu’au Cirque de Rome, elles étaient mêlées avec les hommes.