« Que dirai-je, s’écrie ce Pere, de ces réprésentations, de ces habits que le démon seul a inventés ? […] Les paroles, les habits, le marcher, la voix, le chant, les regards des yeux, les mouvements du corps, le son des instrumens, les sujets mêmes & les intrigues des Comédies, tout y est plein de poison, tout y respire l’impureté.