Mercier a joint à sa piece, pour mieux peindre son héros, un long commentaire qui forme un gros livre : il a prévenu la postérité, & s’est rendu à lui-même le même service que les interprêtes rendent à Sophocle, à Euripide, &. […] Les rois, les héros, les dieux, les déesses, à l’Opéra, sur des chevaux de cartons, élevés dans les airs par des cordes, sur des aigles, des dragons, des chats en peintures, souvent aussi dérangés que le grison de Moliere Sancho, les fées, les sylphes, les enchanteurs, les statues animées de Deucalion, de Pygmalion & de Prométhée, du Festin de Pierre, &c, sont-ils moins puériles ?