Vous mettez au nombre des reproches que vous faites à la Tragédie qu’elle ne vous représentera que des Tyrans ou des Héros : qu’en avez-vous à faire, dites-vous fy ? […] Les Héros de Genève ne lui seraient guère plus utiles que ses fortifications : mais souvenez-vous que vous avez dit qu’il fallait des hommes et des Héros à une République : or Genève est une République ; il est donc sage de mettre souvent des Héros sous les yeux de vos Concitoyens, pour leur servir de modèles. […] , p. 220 : « La Tragédie nous représentera des tyrans et des héros.