Des divinités célestes ou infernales, suspendues par des cordes, ou poussées par des trapes comme des statues ; des rois très-peu majestueux & des confidens ridicules, qui viennent tous froidement converser en musique, dans un lieu où l’on ne devroit voir que des héros & des bergers, & des intrigues de comédies, dignes de la composition de nos premiers théâtres, forment tout le canevas de ce spectacle, & l’on finit par attribuer au genre tous les défauts du poëme & de la musique.