Cornélius n’ait été Dictateur ; mais on doute s’il fût créé Dictateur pour faire la guerre ; ou s’il le fût seulement afin que le Préteur L. […] , ont introduit des Dieux enflammés de passion et de colère, et agités de furieux transports de lubricité ; Ils nous ont aussi représenté leurs guerres, leurs combats, et leurs blessures, leurs haines, leurs divisions, leurs discordes, leur naissance, leur mort, leurs plaintes et leurs regrets, leurs débordements en toutes sortes d’impuretés, leurs adultères, leurs chaînes, des Dieux amoureux des femmes : des Déesses amoureuses des hommes ; et enfin des hommes engendrés des Dieux. » C’est pourquoi Aristote défendant les peintures impudiques et déshonnêtes, excepte par moquerie celles des Dieux que les lois autorisent ; Si toutefois, ajoute-t-il, il y a des Dieux qui se plaisent à ces impuretés. […] Et certes s’il s’en faut rapporter aux fables, les Dieux n’ont pas manqué de guerre ; ils ont donné des combats, non seulement comme on le voit dans Homère, lorsque deux armées ennemies avaient chacune des Dieux dans leur parti ; mais lorsqu’ils ont pris les armes pour eux-mêmes contre les Titans, et les Géants. […] Mais qu’elle se soit attaquée à Périclès, et qu’elle l’ait déchiré par ses vers après tant de services qu’il avait rendus à son pays, après l’avoir gouverné tant d’années ; et en paix et en guerre, avec tant d’éclat et de gloire ; c’est ce qui est aussi peu supportable, que si nos Comiques Plaute, Névius, et Cécilius eussent eu l’insolence d’outrager les deux Scipion, et Caton même. » « Il ajoute peu après« Deinde paulo post : nostræ, inquit, contra duodecim Tabulæ, cum perpaucas res capite sanxissent ; in his hanc quoque sanciendam putaverunt, si quis actitavisset, sive carmen condidisset, quod infamiam faceret, flagitium alteri.