Et à la fin de la guerre des Parthes qui dura 4 ans, il amena tant de joueuses de flûte, tant de Bouffons, de Baladins et de joueurs de Gobelets, qu’il paraissait plutôt victorieux des Histrions que des Parthes ; « Ut videretur bellum non Parthicum sed Histrionicum confecisse. […] Aussi Dioclétien dépensa le moins qu’il put dans son triomphe après la guerre des Perses et dans les jeux qu’il donna ensuite à toutes les nations de la terre que cette solennité avait attirées à Rome. […] que les Païens furent extrêmement sensibles à l’abolition de ces jeux, qu’ils regardaient comme le soutien de l’Empire et un préservatif contre la peste, les guerres et les autres maux, dont néanmoins les jeux de Sévère ne les avaient nullement garantis.