Les Grecs étaient-ils moins amoureux que les Français ? […] Voulez-vous savoir pourquoi les Tragédies Grecques épouvantaient si fort les esprits ? C’est parce que les Grecs ne s’attachaient qu’à ces grandes passions. […] Voilà ce que je pense des Grecs. […] Mauduit éd., Lectures antiques de la tragédie grecque, Lyon, 2001, p. 27-41.