Le Chœur seul y chantait et dansait, pour marquer ordinairement les intervalles des Actes, ou pour donner quelque grâce extraordinaire au Poème ; mais toujours avec la bienséance convenable à ces belles représentations. […] entendre l'excès de quelque turpitude, « qu'un Mime ne la pourrait représenter, qu'un Bouffon n'en pourrait faire un Jeu, et qu'un Atellan ne la pourrait prononcer » : car n'y comprenant point ces deux autres sortes d'Acteurs, il montre bien que les choses honteuses ne se mêlaient point aux grâces de leurs représentations, bien que le plaisir n'en fût point banni.