Après tout, le Clergé ne doit pas être trop mécontent : il pourrait être plus maltraité, s’il eût eu les bonnes grâces de M. […] Les brillantes grâces Réf. […] Il est vrai que l’on ne doit désespérer de rien, tant que le vice dure : quelquefois une puissante grâce du Seigneur, une remontrance pathétique, une affliction sensible dissipent tous les préjugés et pénètrent jusqu’au fond de l’âme. […] Or, c’est au Théâtre en partie que nous devons attribuer cette situation malheureuse : par conséquent les Poètes ont moins sujet d’espérer grâce auprès du Seigneur, et plus besoin de faire pénitence, que personne.