Ce n’est même que dans le goût national ; tout le reste est ennuyeux. […] C’est là le goût du théâtre : tout y est colifichet. […] Le souffle contagieux du théâtre a infecté la littérature par le goût de colifichet, et on a fait un mérite. […] Ceux qui les fréquentent, ne prennent pas moins leur ton de privauté que leur goût de libertinage. […] De quel goût ?