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397. (1694) Réfutation d’un écrit favorisant la Comédie pp. 1-88

Personne ne mêle le poison avec le fiel ou avec de l’helebore ; mais on le met dans les viandes bien apprêtées, douces et agréables au goût : De même, le diable répand son venin sur les choses de Dieu les plus agréables. […] Les Dames ne trouvaient guère ces Pièces à leur goût : elles ne s’y assemblaient point avec cet air gallant et si peu modeste où on les voit à la Comédie aujourd’hui.

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