C’est une satire en dialogue, à peu-près dans le goût des Calotes ou du jeu du Trictrac, de l’Ombre, du Lansquenet, &c. où l’on fait parler tous ceux qui ont eu part aux affaires, & dire chacun son mot satyrique qui le caractèrise. […] Tout cela ne peut avoir été avancé qu’en plaisantant ; mais voici une idée dans le même goût, avancée sérieusement par un homme de beaucoup d’esprit dans un nouveau Théatre François. […] Rien ne plaît, s’il n’à l’air, le nom, le goût dramatique. […] L’Auteur a le goût tragique, il lui faut partout des Euménides & des poignards, de l’horrible & de l’abominable.