Trop heureux qu’on dirige sa main tremblante ; il s’anéantit en bassesses, il s’épuise en présens, pour gagner ces arbitres du bon goût, ces dispensateurs de la gloire. […] C’est bien pour la gloire qu’on travaille ; & qui se mettra en frais, pour faire valoir ses productions ? […] Faut-il donner au marchand, au tableau, ou à la bordure du cadre, la gloire du peintre ?