Corneille, qui avait toujours fait bonne contenance, demeura maître du théâtre, y établit ses lauriers et sa doctrine, qui, comme un héritage précieux de leur père, a passé de main en main à ses descendants, et tous se font gloire d’être Cornéliens, quoique souvent ils dérogent. […] Nous sommes de leur gloire un instrument servile. […] Si je reviens vainqueur, ma gloire est infinie. […] à d’autres mains céderiez-vous la gloire … C’en est fait, le devoir sur l’amitié l’emporte. […] Vous m’ouvrez à la gloire un chemin où je cours.