Celui qui en avait fait les frais n’en eut autre louange auprès des gens de bien, que d’avoir achevé de perdre la Ville de Rome : Il y eut tant de jeux et tant de danses : Les représentations en furent si lubriques et les prostitutions si honteuses, que dans l’estime des sages qui craignent plus la corruption des mœurs que la perte des biens. […] Les Officiers de guerre ne devraient quasi point avoir d’autres Jeux, que la bague, les joutes, les tournois, l’exercice de leurs gens et de leurs chevaux : Ils se rendent ridicules lorsqu’ils s’abaissent jusqu’à la muguetterieak ; ils y laissent toujours une partie de leur réputation. […] sacrés Canons ont encore montré plus de servilité contre les gens d’Eglise ; qui se laisseraient aller aux jeux de hasard ; il ne leur est pas même permis de se trouver en la compagnie des joueurs, quoiqu’ils ne soient pas de la partie. […] Quel est le port où ces gens-là ont coutume d’aborder ? […] Comme je ne pense avoir rien oublié de ce qui peut faire à son avantage, aussi ne dois-je rien dissimuler de ce que les gens de bien y reprennent.