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115. (1715) La critique du théâtre anglais « CHAPITRE I. L’obscénité du Théâtre Anglais dans le langage. » pp. 1-92

Et ce double crime notre Théâtre le porte si loin qu’il révolte et soulève les moins gens de bien. […] Des valets, des esclaves, de petites gens sont trop méprisables et trop méprisés pour devenir des exemples à suivre. […] Car pour le dire avec franchise ; Jupiter a une pique contre tous les gens de bien. […] Mais avec quelles gens s’y trouvera-t-il ? […]  » On voit que dans ce temps-là l’obscénité n’était que du goût des petites gens.

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