S’il paraît que le genre tragique se soit plutôt perfectionné chez les Grecs que le comique, ce n’est pas une raison d’en conclure qu’il est beaucoup plus ancien. […] Le Comique-larmoyant, ce genre si bisare, ne doit-il pas sa naissance à la Comédie ? […] Le genre de la plaisanterie enfante de nos jours des piéces, où le désespoir gémit, où l’Amour & la Vertu répandent des larmes. […] Aristophane travailla dans les deux genres. […] On pouvait dès lors juger de son genre, & de ce qui ferait son principal mérite.