mais à l’élevation, à la pénétration, au génie de Moliere, porte à faux. […] Aucun génie n’a plus élevé les ames que Corneille. […] Il est un de ces génies heureux destinés par la providence dont ils paroissent l’ouvrage chéri (un Poëte dramatique ouvrage chéri de la providence ! […] Je croirai la décadence de notre nation prochaine, si les hommes de quarante ans ne regardoient pas Corneille comme le plus grand génie qui eut jamais été. […] ce sont des enfans auprès de Corneille, C’est le plus grand génie qui ait jamais été.