C’est ainsi que l’espionnage devient général, il n’est aucun bureau qui en soit exempt, depuis celui du ministre jusqu’au bureau à tabac. […] Toujours inquiet, quelquefois bizarre, il fatiguait ses généraux enrichis, qui n’aspiraient qu’au repos pour jouir en paix des aises de la vie. […] Tous deux généraux habiles eurent cela de commun, qu’ils commencèrent la guerre sans argent, sans munitions, sans magasins. […] [NDE] Il s’agit du général des jésuites (voir la note suivante) h. [NDE] A l’époque, le général des jésuites était Louis Fortis, de Vérone, nommé en 1820, à la suite du rétablissement des jésuites par le pape Pie VII en 1814.