Après l’office de la messe, le chapelain de la confrérie montait à la tribune des apôtres et entonnait : assumpta est Maria in cœlum : gaudent angeli, laudantes benedicunt Dominum ; après quoi il récitait quarante vers français pour engager les apôtres à publier par toute la terre l’Assomption de la sainte Vierge, dont ils venaient d’être les témoins.