Il fait alors le parallèle de ces deux grands Maîtres de la scène Française, et dit ensuite que ceux qui se sont emparés de la scène après ces deux Poètes, ont bien pu imiter ou surpasser même leurs défauts, principalement celui des sottises amoureuses ; mais qu’il ne leur a pas été si aisé d’atteindre à leur art, beaucoup moins à leur génie. […] La scène Française souffle aujourd’hui dans les cœurs un double poison, que nous devons regarder comme également funeste à la Religion et à l’Etat. […] Il a été traduit en Français par le P.