.), et comme lui toute l’histoire, que ses liaisons avec les Comédiennes, jusqu’à les traîner dans ses voyages et dans sa litière : « Inter quos ledica tua Mima pertabatur. » Ce qu’il appelle avoir perdu le bon sens, par un jeu de mots qu’on ne peut rendre en français : « Venisti Brundusium in sinum et complexum tuæ Mimulæ, cum in gremiis Mimularum mentum et mentem depeneres. » Ses débauches avec Cléopâtre, sa défaite, sa mort funeste, furent les tristes suites de son amour aveugle pour ces créatures, qui l’avaient d’abord perdu. […] La Basoche se partagea sans doute aussi, car se prêtant tour à tour aux deux parties, on la voyait jouer tantôt le Dauphin, la Pucelle d’Orléans et les Seigneurs Français, tantôt le Roi d’Angleterre et sa Cour, la Reine Isabeau, les Princes du sang et les Seigneurs Anglais.