Après cela, je ne daignerais répondre à la vaine excuse qu’on fournit à la comédie dans les jours de fête, sous prétexte qu’elle ne commence qu’après l’office, et comme dit notre auteur, Pag. 53. 56. [« Lettre d’un théologien », pages 53 et 56].
Après cela, je ne daignerais répondre à la vaine excuse qu’on fournit à la comédie dans les jours de fête, sous prétexte qu’elle ne commence qu’après l’office, et comme dit notre auteur, Pag. 53. 56. [« Lettre d’un théologien », pages 53 et 56].