Opera comiques sont fort libres. […] Il ne lui survêcu guères, & mourut dans un âge fort avancé. […] On a debité dans sa vie que sa haine contre les Médecins venoit de quelque maladie où il avoit été assez maltraité & fort rançonné par son Médecin. […] On ajoute cependant que lui-même faisoit fort peu de cas de son ouvrage, qui n’étoit qu’une traduction en prose fort mauvaise (car il écrivoit mal) ; qu’il n’y avoit que quelques endroits brillans, quelques descriptions, qu’il avoit essayé de traduire en fort mauvais version témoin le poëme du Val-de-Grace, dont personne ne peut soutenir la lecture, quoiqu’il eût la liberté toute entiere, n’étant point gêné par les idées de l’auteur qu’il traduisoit. Tout cela est fort peu vraisemblable.